GESTION: ORGANISER et répartir les tâches rapidement. SECOURIR les victimes, RAPPELER les autres plongeurs, PRENDRE LES INFOS via le recueil des éléments d'alerte.
SECOURIR: (Selon besoins) MASSAGE(Après 30 compressions, 2 insufflations - jusqu'à l'arrivée des secours ou jusqu'à ce que la victime montre des signes de vie). OXYGENE (100% 15l/min jusqu'à l'arrivée des secours). REHYDRATER (0.3-0.5 l/h - sauf nausées, vomissements, lésion tube digestif). SURVEILLER (selon les circonstances, débarrasser la victime de sa combinaison ; l'asseoir ou l'allonger ; la réchauffer et/ou la mettre à l'ombre ; la surveiller : lui parler, la rassurer, noter le pouls et son évolution ainsi que tout autre signe significatif ...). NE JAMAIS INTERROMPRE LA PROCEDURE, MÊME EN CAS D'AMELIORATION !
CONTACTER: CROSS-VHF→16 CROSS-VHF-ASN→70 CROSS-TELEPHONE→196 SAMU→15 TOUTES-URGENCES→112 POMPIERS→18 POLICE-GENDARMERIE→17 MESSAGE: PAN-PAN (3x), ICI nom du bateau (3x), lieu précis, attente réception du CROSS pour passer le message (signes de l'accident, nombre de victimes, secours apportés, ...
Décompression à paliers fixes: Approche bien connue et éprouvée. Les paliers stationnaires offrent une marge conservatrice du fait que les tissus éliminent sous gradient « décroissant ».
Décompression contrôlée par plafond (Ceiling): Approche nouvelle. Optimise le temps (−4 à −12 %) en conservant un gradient maximal « constant ». Aucune étude clinique n’a démontré clairement la supériorité ou l’infériorité de cette méthode en termes de sécurité. A utiliser avec prudence et progressivité donc...
Voir l'étude comparative de Sergio A Angelini (2022): Ceiling-controlled versus staged decompression: comparison between decompression duration and tissue tensions.
L'exposition prolongée à une pression partielle d'oxygène supérieure à 0.5 bar augmente le risque de toxicité pulmonaire (effet Lorrain Smith). Une pression partielle d'oxygène supérieure à 1,6 bar augmente le risque hyperoxique (effet Paul Bert). Deux paramètres sont donc à surveiller:
OTU/UPTD: La dose admissible par jour (COMEX) se situe à 850 OTU. Attention, cette valeur diminue chaque jour (voir table REPEX) ! Pas de PB si 300 OTU/j max...
CNS: À PpO2=1.3, on atteint 100% de CNS (source NOAA) au bout de 180'. C'est donc la durée maximum en plongée CCR et la bonne pratique est plutôt de ne pas dépasser 80% de cette valeur (144'). Le max sur 24h est de 210' (168' pour 80%). Si le CNS Clock atteint 80% il faut respecter un temps de surface de 12 heures.
Balestra et al. (2024) : "Des fluctuations modérées de la PpO2 pendant la décompression peuvent activer des mécanismes de défense antioxydants, potentiellement bénéfiques pour la réduction du stress oxydatif post-plongée" [Frontiers in Physiology, 2024]. Cette approche horméique propose des cycles alternant entre :
5-10 minutes à PpO2 1,4 bar
2-3 minutes à PpO2 1,0-1,1 bar
L'approche la plus récente recommande des setpoints dynamiques plutôt que statiques :
Descente initiale : PpO2 basse (0,7-0,9 bar) pour limiter l'exposition aux hautes PpO2
Fond : PpO2 modérée (1,0-1,2 bar) adaptée à la profondeur et à la durée
Début de décompression : PpO2 élevée (1,3 bar) dès le premier palier pour maximiser l'élimination des gaz
Paliers peu profonds(<15m) : PpO2 maximale sécuritaire (1,3-1,4 bar) pour optimiser la fin de décompression
Des recherches menées par Tuominen et al. (2024) en eau froide montrent que les conditions environnementales influencent l'efficacité métabolique et donc la gestion optimale de l'oxygène :
Eau froide : Des setpoints légèrement plus bas peuvent être préférables, car la vasoconstriction périphérique réduit la capacité des tissus à métaboliser l'oxygène.
Effort important : Augmenter temporairement le setpoint à 1,3-1,4 bar pendant les phases d'effort peut aider à éliminer plus rapidement les gaz inertes accumulés.
Validité d'une cellue: 18 mois (date construction) ou 12 mois (ouverture).
Une bonne cellule doit donner en surface entre 8mv et 13mv
Pour tester valider une cellule avec 100% d'O2, saisir la valeur dans l'air et vérifier la tolérance ci-dessous:
Cellules à l'Air (mV)
Mini (O2)
Maxi (O2)
45.6
49.6
Pour la vérif des cellules, en cas de doute dans l'eau: une PpO2 donne environ le double de la tension de cellule divisé par 100 (la valeur précise est de 47,85mV/bar). Donc 10mV = PpO2 0.2 ; 50mV = PpO2 1.0 ; 65mV = PpO2 1.3 ; ... 100% d'oxy on devrait donc avoir 50mv.
Préconisation rEvo: dès que le plus jeune de tous les capteurs de votre système atteint l’âge de 6 mois, vous remplacez le plus faible (celui qui réagit le plus lentement aux variations de PPO2, ou celui qui semble le plus proche de la limitation de courant lors du test à 6/7 mètres), ou, si vous ne parvenez pas à identifier un « plus faible », alors le plus ancien du système.
CMF = Constant Mass Flow = Débit Massique Constant. Il permet le mode 'hybride' et d'allèger considérablement le travail du Solénoïde.
Un Débit Massique Constant implique d'abord un Débit Volumique Constant obtenu par un écoulement constant (vitesse 'sonique' si MP=~11b sur APEKS au moins le double de PA soit 5.5b = 45m) et une densité constante (obtenue par une pression constante d'où l'utilisation d'un détendeur à pression absolue, non compensé à la pression ambiante et une MP règlée pour son métabolisme propre). C'est pourquoi :
Le CMF diminue après ~45m.
A 100m, la MP = PA et le détendeur ne peut plus délivrer d'oxygène au recycleur (ni par le CMF, ni par le Sélénoide, ni par la MAV) !
Pour aller au dela des 100m, les options sont:
Configuration E-CCR: Enlever le cache du détendeur et bloquer le CMF avec la vis constructeur.
Configuration M-CCR: Plugger de l'O2 en OffBoard (ou son BO Fond si Ppo2>1.3) et pilotage à la MAV à partir de 100m. Si O2 alors piloter robinet+MAV pour n'injecter, en cas de bouton MAV bloqué, que ce qu'il y a dans le tuyeau...
Configuration H-CCR dégradé: Enlever uniquement le cache du détendeur. Le CMF va augmenter et nous exposer à un peu d'augmentation de PpO2 dans les 40m mais de manière tout à fait gérable. Une bidouille proscrite par rEVO, mais qui dans la pratique, semble bien fonctionner et utilisée par certains plongeurs...
Pour une approche calculée:
Avec un Diluant AIR, la profondeur limite théorique pour l'efficacité du rinçage c'est 40m (PpO2=1b). La limite physique c'est 52m (PpO2=1.3). Plus profond, la PpN2 augmente tout comme le risque narcotique.
Pour un Diluant TRIMIX: Mélange calculé pour la profondeur réelle max de la plongée à une PpO2=1.0 (comme à l'air 40m), une PpN2=3.2 (PENA=30m) ainsi qu'une densité de gaz à 5.2 g/l (le max étant de 6.3 g/l).
Pour le BailOut "Fond": Mélange calculé pour la prodondeur max de prérogative à une PpO2=1.6, une PpN2=3.2 (PENA=30m) et une densité maximum de 6.3 g/l. "TDI" recommande une planif avec un SAC de 45l/min jusqu'au premier palier de décompression. Le "Health & Safety Executive" recommande lui 50-75l/min. Pour réduire les risques de CDI, limiter les écarts de fraction d'hélium à moins d'un tiers avec le diluant (Frawley et Mitchell, 2023).
Pour les Bailouts "Travel" : Mélanges calculés pour avoir une PpO2 entre 1.6 et 0.8 (voir la section Fenêtre Oxygène) et une PpN2/PpHe qui ne dépasse pas (+0.5 bar max) la valeur du mélange précédent (voir la section CDI).
Pour une approche gaz standards:
Gaz FOND Standards (EAN32 & Helium):
3-30m Nx 32
33-45m Tx 21/35
48-60m Tx 18/45
63-75m Tx 15/55
78-121m 10/70
Gaz DECO Standards (EAN32 & Helium):
6m O2 100
21m Nx 50
36m Tx 35/25
57m Tx 21/35
La densité des gaz impacte les plongeurs sur deux facteurs: le travail respiratoire (WOB) et l'élimination du dioxyde de carbone (CO2)
Gavin Anthony et Simon Mitchell rassemblent dans le document Respiratory physiology of rebreather diving, les différentes recherches et études sur les besoins en gaz et de la manière dont la densité du gaz peut mettre les plongeurs en danger ou contribuer à assurer leur sécurité.
Les preuves qu'ils avancent semblent indiquer que la densité du gaz a un effet profond non seulement sur l'évolution et l'élimination du WOB et du CO 2 , mais également sur notre capacité à respirer et à échanger efficacement des gaz.
Les plongeurs avec recycleur et en circuit ouvert auraient un niveau dangereux de CO2 lorsque la densité de leurs gaz respirés arriverait à 6,0 g/L.
Leurs recommandantions est une densité de gaz idéal de 5,2 g/L, avec un maximum absolu de 6,2 g/L.
DAN est devenu un éminent défenseur de la limitation de la densité du mélange respiratoire suivi d'autres organismes comme le BSAC, TDI, PADI....
La CDI concerne une possibilité d'ADD très critique car elle intervient sous l'eau… aux paliers…
Pour ceux qui disent que ca n'existe pas ou que ce n'est pas important: une méta-analyse réalisée par Gerth et Doolette (2024) a identifié 47 cas documentés d'ADD attribuables au CDI entre 2015 et 2023, dont 76% impliquaient un passage d'un diluant à forte teneur en hélium à un gaz bailout riche en azote. Des données du DAN (2022-2024) montrent que parmi les ADD non-expliquées par les profils de décompression standard, environ 25% surviennent lors de transitions CCR-bailout et présentent des symptômes typiques de CDI (prurit, marbrures cutanées, vertiges).
Des recherches présentées lors du Rebreather Forum 4 (RF4) à Malte en 2023 ont quantifié plus précisément les risques du CDI :
CDI symétrique (azote remplaçant l'hélium) : Risque modéré, principalement dans les tissus cutanés
CDI asymétrique (hélium remplaçant l'azote) : Risque plus élevé d'ADD vestibulaire et cutané
Plusieurs facteurs amplifient les risques de CDI :
Température corporelle : L'hypothermie ralentit la diffusion de l'hélium mais affecte moins celle de l'azote, aggravant potentiellement l'ICD (Vrijdag et al., 2024)
Effort physique : Un effort intense pendant ou immédiatement après un changement de gaz augmente les gradients de diffusion (Lambrechts et al., 2023)
Hydratation : La déshydratation modifie les propriétés des membranes cellulaires et peut intensifier l'ICD (Tuominen et al., 2024)
Durée d'exposition préalable : Plus les tissus sont saturés en hélium, plus le risque d'ICD est élevé lors du passage à un gaz riche en azote (Balestra et al., 2024)
Les recommandations les plus récentes (2023-2025) pour minimiser les risques d'ICD lors d'un bailout CCR incluent :
Bailout échelonné : Minimiser les fractions N2 et He pour ne pas dépasser +0.5 bar de différentiel. Rappel: Un tissus est en dégazage incontrôlé avec un gradient de 2.54b (USN) !
Règle du 1/3 de différence : Limiter les écarts de fraction d'hélium à moins d'un tiers entre le diluant CCR et le premier gaz bailout (Frawley et Mitchell, 2023)
Protocole pour passer en bailout :
Transition progressive : Si la situation le permet, respirer un mélange 80% diluant + 20% bailout pendant 2-3 minutes avant de passer complètement au bailout (Vrijdag et al., 2023)
Ralentissement initial de l'ascension : Après passage en bailout, maintenir la profondeur pendant 1-2 minutes avant de commencer l'ascension (Mitchell et al., 2023)
Paliers de stabilisation : Introduire des mini-paliers de 1 minute tous les 10m après un passage en bailout, même si non requis par l'algorithme de décompression (RF4 Proceedings, 2023)
Ne jamais passer à l'air (remonter en surface) lors de décompression amorcée au Trimix ou à l'Héliox ! Obligatoirement passer par du Nitrox et de l'oxygène pur.
En très simplifié, la Fenêtre Oxygène est une sous-saturation liée au fait que l'oxygène dissout dans le sang est absorbé et métabolisé par nos cellules. Augmenter l'O2 ou la pression, accentue le phénomène de sous-saturation et ouvre une fenêtre qui favorise l'élimination des bulles et accélère ainsi la décompression.
La pratique consiste à ouvrir au maximum la fenêtre lors de la décompression en augmentant la PpO2 le plus proche possible de la limite des 1.6 bar autorisée.
Si on est trop bas (PpO2 < 0.8 bar), la fenetre se ferme et l'apport en Oxygène devient presque inutile...
D'où la règle d'optimisation de la décompression de garder : 0.8< PpO2 <1.6
Les recherches récentes ont clairement remis en question l'utilisation de paliers très profonds (et donc de valeurs de GF Low très basses).
Les études scientifiques et l'expérience clinique suggèrent que des valeurs de GF Low plus élevées (45-70) et des GF High modérés (70-80) offrent probablement le meilleur compromis entre l'efficacité de la décompression et la sécurité.
Les recommandations continuent d'évoluer à mesure que de nouvelles recherches sont publiées mais à ce jour les combinaisons couramment recommandées sont:
50/70 - Approche conservatrice
50/75 - Un bon équilibre entre sécurité et durée totale de décompression
50/80 - Pour les plongeurs expérimentés sans antécédents d'ADD
45/75 - Pour les plongées plus profondes ou plus longues
Ajustements situationnels :
Pour les plongées répétitives ou les plongées sur plusieurs jours consécutifs, il est recommandé d'être plus conservateur en réduisant le GF High à 70 ou moins.
Pour les plongées en eaux froides, un GF High plus bas (65-70) peut offrir une marge de sécurité supplémentaire.
L'Engagement (aussi appelé 'Facteur Q') est une notion qui reflète une charge en gaz inerte à laquelle on peut associer un risque d'ADD.
L'engagement se calcule avec la formule: (Q = Profondeur * √t)
Cette échelle probabiliste intègre les données de 2,3 millions de plongées analysées par la COMEX (2015-2024)
Les dernières recherches ont permi d'établir une formule de l'engagement 'réel' pour intégrer des facteurs comme la température de l'eau, le niveau d'hydratation, la présence d'un FOP, etc. Une méta-analyse de cet engagement 'réel', sur 923 cas d'ADD, montre que 68% des accidents surviennent lorsque Q>300.
Il existe des preuves solides selon lesquelles le refroidissement pendant la décompression peut augmenter considérablement le risque. À l'inverse, le risque le plus faible concerne un réchauffement au début de la remontée.
NEDU (2007) - Influence de l'exposition thermique sur la susceptibilité des plongeurs aux accidents de décompression.
Germonpré (2020) - Cooling and Decompression Stress : The Role of Temperature in Decompression Sickness.
Tuominen et al. (2024) - Des setpoints légèrement plus bas en eaux froides peuvent être préférables, car la vasoconstriction périphérique réduit la capacité des tissus à métaboliser l'oxygène.
Donc, la meilleure situation est: froid au fond et chaud aux paliers ! Adapter la plongée et l'équipement en conséquence...
L'exercice pendant la phase fond de la plongée est un facteur de risque de DCS par l'accélération de l'absorption des gaz par les tissus.
L'exercice aérobique dans les 24 heures précédant la plongée a montré des preuves de réduction du risque d'ADD et une réduction démontrable de la formation d'embolies gazeuses veineuses (EGV) après les plongées. L'exercice avant la plongée est censé produire de l'oxyde nitrique (NO), qui pourrait éliminer les micronoyaux ou réduire la dysfonction endothéliale.
Zeljko Dujic (2004) - Aerobic exercise before diving reduces venous gas bubble formation in humans.
Jean-Éric Blatteau (2005) - Aerobic exercise 2 hours before a dive to 30 msw decreases bubble formation after decompression.
Il existe également des preuves limitées selon lesquelles un exercice léger pendant la décompression peut réduire la détection de bulles après la plongée
Louis W Jankowski (2004) - Exercise effects during diving and decompression on postdive venous gas emboli.
L'exercice après le retour à la surface est déconseillé, car il pourrait favoriser le shunt droit vers gauche du VGE, soit par un FOP, soit par un shunt intra-pulmonaire. Donc cooool !
L'exercice préalable à la plongée, évoqué ci-dessus, est à ce jour la stratégie de préconditionnement la plus étudiée. D'autres interventions avant la plongée qui ont exercé des effets potentiellement positifs chez l'homme comprennent la respiration d'oxygène, les vibrations du corps entier, l'exposition à la chaleur dans un sauna, l'ingestion dle chocolat noir... Toutes ces interventions potentielles nécessitent des recherches plus approfondies avant d'être promues dans la pratique courante.
L'hydratation avant la plongée est largement considérée comme une stratégie valable pour réduire le risque de DCS.
Néanmoins, il n'existe aucune étude humaine démontrant qu'une hydratation intentionnelle avant la plongée réduit le DCS, mais il existe un consensus général sur le fait que la déshydratation doit être évitée, tout en prenant soin de ne pas trop s'hydrater, ce qui peut augmenter le risque d'œdème pulmonaire par immersion.
Pour la sécurité des calculs:
Sur une plongée NITROX arrondir la valeur analysée de l'oxygène à la hausse pour le calcul de la PMU. Arrondire à la baisse dans le paramétrage de l'ordinateur. Exemple: 32.6 d'O2 analysé, Nx33 utilisé pour la PMU, Nx32 paramétré dans l'ordinateur.
Sur une plongée TRIMIX, paramétrer l'ordinateur de la manière suivante: arrondi bas pour l'O2 et haut pour l'HE. Exemple: O2=12.6 et H2=62.3 analysés, paramétrer un gas 12/63 dans l'ordinateur.
Arrêt: Pression continue sur le bras ou la jambe du binôme. Utilisé pour indiquer que quelque chose ne va pas mais sans caractère d'urgence.
Avancer: Légère poussée vers l'avant.
Reculer: Tirage vers l'arrière.
Problème ou Urgence: Série de pressions ou de secousses rapides. Situation nécessitant une attention immédiate !
Enchevêtrement dans la ligne: Croiser les doigts et les placer dans la main du binôme, en les faisant tourner d'avant en arrière. Une réponse confirmative, telle qu'une pression ferme sur la main, indique la compréhension de la situation.
Changement de direction: Placer la main du binôme sur la ligne et la faire tourner comme une poignée de porte dans la direction souhaitée.
Communication positive: Une pression rassurante.
BAILOUT-CCR
N'ajoute pas d'O2 (pour économie & flota). Le SP n'est donc pas maintenu !
Calcul de décompression réalisés à partir du SP actif (et pas des pressions partielles). Cela implique d'avoir les mêmes SP à tout moment sur les 2 CCR !
Stacktime en standby
Passe automatiquement en 'Dive Mode (CCR)' si ppO2 < (ppO2Dil x 20%) (préférer le passage manuel). Dans ce mode penser à passer le principal en mode BO-CCR ou couper l'O2 (CMF) et passer en SPLow!
Quand ? À 6m (avec Bubble Check), puis tous les 20m, et toutes les 15'
Procédure ? Faire une courte injection DIL pour s'assurer d'une pression positive et vérifier la PpO2
Chaque première respiration doit être effectuée avec précaution ! Le système peut être partiellement ou complètement inondé. Soyez prêts à passer sur le CO !